Le désert s’étendait à bien dol de constatée, une mer infinie de sable or ondulant sous la luminosité blanche du soleil. Le vent chaud sculptait les dunes en vagues éphémères, effaçant toute trace de passage. Ici, dans cet espace hors du temps, où le silence était aussi dense que l’air https://constantinpwbdd.blogdeazar.com/33710326/les-messages-du-sable-du-desert