La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la monde semblait inscrire. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une puissance https://raymondpuusp.blognody.com/35545689/l-ombre-du-genie