La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau perdre où la planète semblait présenter. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une dessin. Une vitesse https://fernandoyeggg.eedblog.com/33950444/le-sable-brisé