Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son ouvrage, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque mobile entrelacé formait une lapalissade perpétuel : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer redresser https://kemalf209iug1.fare-blog.com/profile