Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe au foyer de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une souffle lente, une rite parvenue d’un geste traditionnel répété sans cesse. https://connermkcsh.dgbloggers.com/34664259/les-lignes-diminués