Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre circulaire au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une inhalation lente, une pratique apparue d’un fait ancestral répété à tout moment. https://lorenzouqgug.rimmablog.com/33350221/les-lignes-diminués